10 erreurs qui handicapent le référencement de votre site

  • 17 avril 2021

Avec environ 800 000 nouveaux sites web publiés chaque jour, la visibilité (et donc le référencement) est devenue le nerf de la guerre. Pour exister, votre site doit absolument figurer en bonne position sur les moteurs de recherche. Dans ce contexte, la moindre erreur peut vous couter de précieuses places dans les moteurs de recherche. Pour peu que vous accumuliez 3 ou 4 maladresses, votre site peut rapidement se retrouver en 3ᵉ, 5ᵉ ou 10ᵉ page de Google (et là autant vous dire que votre trafic va brusquement ressembler à un encéphalogramme plat…).

Pour éviter d’être rétrogradé dans les profondeurs des moteurs de recherche, et pour rester dans les petits papiers de Google, voici donc quelques-unes des erreurs les plus courantes en matière de SEO. Certaines de ces maladresses ou manquements freinent le crawl de vos pages, d’autres influent sur leur indexation ou sur leur ranking. Cumulées, l’ensemble de ces faiblesses ont un impact négatif sur le référencement de votre site internet et handicapent sérieusement sa visibilité dans les pages SERP. Je vous invite donc à les corriger au plus vite (soit directement si vous en avez la compétence, soit par l’intermédiaire d’un professionnel du référencement).

Erreur SEO n°1 : Offrir une mauvaise expérience sur mobile

Il y a encore quelques années, l’essentiel des consultations web s’effectuaient depuis un ordinateur (PC ou mac). Depuis, les smartphones ont débarqué dans nos vies. Si bien qu’aujourd’hui plus d’une consultation internet sur deux s’opère depuis un mobile. Conséquence directe de cette évolution : si votre site web n’est pas adapté à ce nouveau mode de consultation, il se coupe potentiellement de plus de 50% de son audience !

Pire encore, Google considère désormais que cette lacune de votre site est pour ainsi dire impardonnable. Du coup, il en pénalise le référencement ! En effet, depuis 2018, l’algorithme de Google favorise explicitement les sites dits « responsive » (ceux qui présente la capacité de s’afficher correctement sur différents supports type mobiles, tablettes, ordinateurs…).

À retenir : Si vous ne l’avez pas encore fait, vous devriez donc faire du mobile votre priorité n°1 ! Plus vous attendez et plus offrez une mauvaise expérience à tous ceux qui consulte votre site depuis un smartphone. Ce faisant, vous nuisez par la même occasion à votre classement dans les moteurs de recherche. C’est la double peine !

Pour faciliter son référencement, un site internet se doit désormais d'être compatible avec la consultation sur mobiles
Un site mal pensé et non adapté à la consultation sur mobile est un vrai handicap pour son référencement. L’ergonomie, la navigation, la lisibilité, la fluidité, la rapidité de chargement, la stabilité son autant de critères à prendre en considération pour améliorer son site afin qu’il soit « mobile friendly ».

Comment savoir si Google considère mon site comme « mobile-compatible » ?

Le plus rapide et le plus simple est tout simplement de consulter l’outil de compatibilité mobile proposé gratuitement par Google. Disponible sur https://search.google.com/test/mobile-friendly cet outil explore le code de votre page web et délivre un diagnostic rapide.
En quelques secondes seulement vous obtiendrez un verdict :

  • soit votre site est considéré comme « responsive » par Google (s’il offre une ergonomie adaptée aux mobiles)
  • soit Google considère que votre site est n’est pas mobile friendly (il est difficilement consultable sur mobile)

Notez que votre site peut également être considéré comme responsive avec cependant quelques améliorations à réaliser. Dans ce cas Google vous guide. Il vous indique les corrections à apporter pour le rendre totalement compatible avec les mobiles.

Erreur SEO n°2 : Avoir un site web trop lent

Depuis des années déjà, Google explique qu’en plus de ses critères de classement basés sur le contenu des pages web, il prend désormais en considération l’expérience de navigation offerte aux internautes. Ainsi chaque site web est désormais évalué selon des critères purement techniques dont le premier concerne sa vitesse de chargement. A contenu de qualité égale, deux sites web sont donc départagés par le temps de chargement de leurs pages. Le plus rapide a les faveurs de Google et se classe donc logiquement devant le plus lent…

À retenir : Si votre site est lent, les internautes seront moins enclins à attendre qu’il se charge. En prime, votre référencement en souffrira…

Le temps de chargement d'une page web est l'un des facteurs retenus par Google pour son référencement
Le temps de chargement de vos pages web a une incidence directe sur le taux de satisfaction de vos visiteurs, mais il est également pris en compte par Google et les moteurs de recherche pour le référencement de votre site…

Comment connaitre l’opinion de Google concernant la vitesse de mon site web ?

De nombreux outils permettent de mesurer précisément le temps de réponse et de chargement des différentes pages de votre site internet. Citons par exemple Uptrends, GTmetrix ou bien encore Dare Boost. A travers « Google PageSpeed Insights », Google propose lui aussi un outil de mesure de performances. Après une analyse de quelques secondes, cet outil vous dévoile votre score de vitesse. Ce score s’accompagne de l’ensemble des actions à mettre en place, le cas échéant, pour progresser.

Comment corriger le tir si Google considère mon site comme trop lent ?

Il existe un certain nombre de mesures que vous pouvez prendre pour accélérer votre site Web. La première consiste à vous assurer que vous disposez d’un hébergement capable de fournir la vitesse que vos visiteurs (et Google) attendent. La compression et le dimensionnement correct de vos images est une seconde piste prometteuse. Enfin, la mise en cache, la minification de votre code HTML, de vos feuilles de style et autre JavaScript peuvent également contribuer à accélérer la vitesse de chargement de vos pages.

Faiblesse SEO n°3 : Lésiner et économiser sur votre contenu

Le contenu est encore trop souvent l’enfant pauvre des sites web. On en soigne le design, on intègre des sliders (photos qui défilent) partout, on débourse une fortune pour refaire son logo… mais on néglige l’essentiel : le contenu !

Si vous pensez performer en produisant ou en achetant du contenu bon marché, vous déchanterez rapidement. Si vous publiez un contenu rapide et peu soigné, n’espérez pas générer de gros résultats. À l’heure actuelle, trop d’entreprises investissent dans le marketing de contenu pour que vous puissiez obtenir quoi que ce soit avec un travail éditorial de mauvaise qualité (à moins bien sur d’être sur un marché de niche très très très étroit, sans la moindre concurrence).

Pour sortir du lot et être reconnu comme pertinent par Google, votre contenu doit être bien écrit, précis et formaté pour être facile à lire. Il est également judicieux de traiter chaque sujet de manière approfondie, car les articles longs ont tendance à être plus performants que les articles courts.

À retenir : Et bien oui, cela signifie que vous allez devoir soit payer plus cher, soit consacrer plus de temps à la création de votre contenu, soit les deux. Il n’y a malheureusement pas d’échappatoire. Mais un contenu de haute qualité est l’un des éléments les plus importants de toute bonne stratégie de contenu, alors si vous le négligiez jusqu’à maintenant, il est temps de corriger cette erreur !

Comment estimer la quantité et le type de contenu à produire pour se positionner sur une expression de recherche ?

Le plus simple pour faire cette estimation, c’est de lancer une recherche sur Google sur l’expression ciblée (« vélo à assistance électrique pour enfant » par exemple). Là, consultez un à un les 10 premiers résultats présentés par Google et prenez soin de noter pour chacun :

  • le type de contenu qu’ils ont publié (article, enquête, sondage, infographie, vidéo, livre blanc, tutoriel…)
  • la longueur de ces contenus (800 mots, 1200 mots…)
  • la tonalité employée (informel, pédagogique, didactique, polémique, ironique, comique…)
  • la richesse des contenus en termes de variété (combien d’image d’illustration…)

À partir de cette rapide synthèse vous saurez à quoi vous en tenir : Pour espérer battre ces 10 sites, vous devrez proposer un contenu meilleur que le leur :

  • un contenu au moins aussi long que la moyenne des 3 premiers
  • un contenu du même type que la majorité des 10 premiers
  • un contenu unique (et non un copier-coller depuis un autre site)
  • un contenu à forte valeur ajoutée (qui apporte une véritable information, des réponses à des questions…)
  • un contenu encore plus riche et illustré que la majorité des 5 premiers

Faux pas SEO n°4 : Omettre ou mal formater vos méta-descriptions

Avec vos URL et les titres de vos pages, les méta-descriptions sont les seuls éléments que Google affichera sur ses pages de résultats pour présenter votre site. Si elles ne jouent pas un rôle direct dans votre classement dans les moteurs de recherche, les méta-descriptions demeurent cependant essentielles. Ces quelques mots sont votre principal argumentaire pour convaincre les internautes de consulter votre site (et non ceux de vos concurrents).

À retenir : En incluant une méta-description pertinente, vous augmentez vos chances d’être finalement « choisi » par les internautes dans les résultats de Google, et cela même si vous ne parvenez pas à obtenir le meilleur classement.

Maladresse SEO n°5 : Négliger les mots-clés de la longue traîne

Au lancement de notre site web, on est tous les mêmes, on vise le haut du panier. On espère attirer les internautes sur des expressions de recherche assez larges, celles qui sont tapées des milliers de fois par jour sur Google. Ainsi, dans un monde parfait, ce serait formidable si votre site web de fournitures de pêche apparaissait en première page de Google pour le terme « fournitures de pêche ». Mais obtenir une place de choix pour un mot clé aussi générique que celui-là est un exploit difficile à réaliser. Si vous n’êtes pas l’un des plus grands acteurs du secteur, vos chances ne sont pas grandes…

En revanche, si vous vous concentrez sur le classement de mots clés plus spécifiques contenant plus de mots (on parle alors de « mots clés de longue traine »), alors vos chances augmentent. Il peut s’agir d’une recherche locale (« fournitures de pêche à Briançon ») ou d’une recherche sur des sujets spécifiques liés aux produits que vous vendez (« différents types d’appâts de pêche » ou bien encore « appâts de pêche spécial rivière »).

Le nombre de recherches quotidiennes sur de telles expressions détaillées sont certes moindre, mais la concurrence est bien moins rude. Avec un peu de travail, vous pouvez donc espérer ressortir très bien classé sur des termes de recherche plus spécifiques et du coup plus qualitatifs.

Si vous réfléchissez aux questions que se posent vos clients et aux sujets qui les intéressent, vous devriez obtenir une longue liste de mots-clés à longue traîne que vous pouvez cibler. La création de contenu autour de ces mots-clés vous aidera à progresser dans les classements d’abord sur les mots-clés à longue traîne, mais aussi indirectement et à plus long terme pour les mots-clés généraux plus compétitifs.

Votre site de fourniture de pêche devrait donc se focaliser sur des contenus susceptibles de répondre aux questions suivantes :

  • « quels appâts de pêche utiliser en lac de montagne ? »
  • « comparatif entre les différents types d’appât de pêche en rivière »
  • « quel est le meilleur appât pour pêcher la truite ? »
  • « en rivière vaut-il mieux utiliser un simple hameçon ou un triple hameçon ? »

À retenir : Plutôt que de batailler avec les gros acteurs de votre secteur d’activités sur des mots clés génériques, visez des requêtes plus précises pour lesquelles vous serez en mesure d’apporter des réponses tout aussi précises et pertinentes. C’est ainsi que vous construirez peu à peu votre notoriété et votre expertise sur la toile (deux critères importants pour le référencement de votre site…)

Faiblesse SEO n°6 : Oublier les liens internes

Certes, les liens internes ne sont pas aussi puissants pour le référencement que les backlinks (liens en provenance d’autres sites), mais ils constituent cependant un moyen efficace pour aiguiller Google à travers le contenu de vos différentes pages. Sur votre site web, vous avez un contrôle total sur les textes d’ancrage des liens internes alors autant en profiter pour faire les choses proprement. Ainsi, si vous souhaitez que Google associe une certaine page à l’expression « fournitures de bureau », vous devriez vous assurer que chaque fois que cette expression (ou une expression similaire) est utilisée sur votre site web, elle soit liée à ladite page via un lien judicieusement posé à cet effet.

À l’image de la signalisation du réseau routier, votre maillage interne aiguille les internautes et les moteurs de recherche vers vos différentes pages. Sans liens internes pour nous y conduire, il n’y a peu de chance que votre dernier article obtienne un franc succès !

Les liens internes vous permettent également de tirer davantage parti de vos pages les plus populaires. Une page qui reçoit une tonne de trafic vous donne la possibilité d’envoyer les gens vers d’autres pages de votre site une fois qu’ils y sont arrivés. Recherchez les possibilités de créer des liens vers d’autres pages pertinentes sur vos pages les plus populaires. Vous pouvez ainsi inciter les visiteurs à découvrir davantage de vos contenus et les garder plus longtemps sur vos pages (ce qui est un excellent signal envoyé à Google quant à la pertinence et à la qualité de votre site).

S’il est bon de penser aux liens internes et de les utiliser régulièrement, veillez à ne pas en abuser. Si toutes vos pages comportent un grand nombre de liens internes, et surtout s’ils ne sont pas tous naturels et pertinents, vous risquez de faire passer votre site pour du spam. Et plus il y a de liens sur une page, moins ils ont de valeur.

À retenir : Soyez donc stratégique dans le choix des liens internes que vous incluez sur chaque page de contenu. Orientez le trafic vers les pages stratégiques tout en optant pour des textes d’ancrage pertinents (et non pas sur des termes génériques tels que « cliquez ici » ou « pour en savoir plus »…).

Erreur SEO n°7 : Ne pas optimiser vos images pour le référencement

Une grande partie de l’optimisation sur site concerne les parties textuelles d’une page web – il s’agit d’utiliser les bons mots aux bons endroits. Il est donc facile et courant de négliger l’opportunité d’optimiser également vos images.

Pourtant, chaque fois que vous ajoutez une image à votre site Web, vous avez la possibilité de l’accompagner de deux éléments textuels dans lesquels il est alors judicieux et efficace d’inclure des mots clés pertinents :

  • directement dans le nom de l’image (« chaussures-noires-talons-hauts.jpg »)
  • via la balise alt de l’image (alt= »chaussures noires à talons hauts »)

Grâce à ces deux paramètres qui accompagne votre image, votre page qui espère être classée pour le terme « chaussures noires à talons hauts » dispose désormais de deux opportunités supplémentaires de mentionner l’expression de recherche ciblée. Deux opportunités donnant à Google une information supplémentaire sur le sujet de la page : Si votre texte et vos images parlent conjointement de chaussures noires à talons hauts, d’escarpins noirs à talon aiguille et de sandales noires à haut talon, alors vous avez fait le job !

À retenir : Dès lors que vous illustrez un contenu d’une photo, pensez à toujours la nommer efficacement et à renseigner sa balise alt dans une optique d’optimisation de votre référencement.

Impair SEO n°8 : Oublier de personnaliser vos URL

L’optimisation des pages de votre site est la partie du référencement sur laquelle vous avez le plus de contrôle, il est donc important de saisir toutes les opportunités pour rendre vos pages web plus fortes aux yeux des moteurs de recherche. L’URL du site et de ses différentes pages, est l’un des facteurs pris en compte par les moteurs de recherche pour déterminer quelles pages doivent être classées pour quels mots clés.

Aussi, chaque fois que vous publiez une nouvelle page web ou un nouvel article de blog, vous devez donc en modifier l’URL pour y inclure le mot clé principal que vous ciblez. N’utilisez pas une URL par défaut (du genre mapage12.html). Optimisez votre URL en y incluant le sujet de votre page tout en prenant soin de séparer chaque mot par des traits d’union. Par exemple, si votre page traite de la visite des musées incontournables des Hautes-Alpes, dotez la d’une URL appropriée comme « musees-incontournables-hautes-alpes.html »

Faites également attention à la structure des URL de votre site Web. Si vous avez trop de dossiers et sous-dossiers, vos URL vont mécaniquement s’allonger et devenir alambiquées, noyant au passage les mots-clés sur lesquels vous voulez vous concentrer.

À retenir : Prenez le temps de bien penser à la structure de vos URL. Incluez systématiquement les mots clés importants de chacune de vos pages dans leur URL respective (sans accents et avec des traits d’union entre chaque mot).

Faute SEO n°9 : Recourir au bourrage de mots-clés

Cette pratique a longtemps fait les beaux jours des rédacteurs peu scrupuleux. Aux premiers jours du référencement, cette tactique consistait à produire un contenu « truffé » d’un mot clé spécifique que l’on répétait 20, 30 ou 40 fois sur une même page (parfois même dans des contextes pour le moins maladroit ou pire encore totalement absurde). Cette ruse permettait de truster les premières positions de recherche sur ce mot clé.

Pendant une courte période, cela a fonctionné. Mais Google s’est vite rendu compte de la supercherie d’autant que ce contenu bourré de mots-clés créait une mauvaise expérience pour les utilisateurs et constituait une façon de contourner son algorithme de classement. Google a alors procédé à des mises à jour afin de s’assurer que les pages qui abusent d’un mot clé particulier ne soient pas classées pour ce mot. Aujourd’hui, il utilise même l’indexation sémantique latente (LSI), qui rend inutile la répétition d’un mot clé, puisque Google peut reconnaître les synonymes et les mots apparentés d’une page pour mieux comprendre de quoi elle traite.

À retenir : Si vous avez rempli, de façon exagérée, votre contenu de mots clés, ou si vous avez engagé quelqu’un qui le fait, il est temps d’arrêter. Efforcez-vous plutôt de rendre votre contenu lisible et pertinent pour vos lecteurs.

Méprise SEO n°10 : Payer pour des liens

Vous le savez sans doute, les backlinks sont l’un des éléments les plus importants du référencement. Malheureusement, il est de plus en plus difficile de multiplier les liens « naturels » menant à son propre site. Cette difficulté a donné naissance à une industrie de vente de liens (le plus souvent de mauvaise qualité) aux entreprises à la recherche d’un moyen simple et rapide d’en obtenir. Mais Google a également compris ce subterfuge. Désormais, chaque fois qu’il identifie des liens qui ont été payés, ou qu’il pense reconnaitre des tendances qui suggèrent l’achat de liens, les sites web ayant recours à ces pratiques sont pénalisés.

À retenir : Il est tentant d’acheter des liens depuis des blogs ou des sites généralistes. C’est rapide et encore peu onéreux (quoi que de plus en plus cher), mais le risque en vaut-il vraiment la chandelle ?. Concentrez-vous plutôt sur des techniques de création de liens « conformes » aux règles, comme la publication d’articles dans des revues spécialisées, la création de partenariats, le partage de livres blancs, la rédaction de communiqués de presse, la promotion de vos contenus sur les réseaux sociaux…

Conclusion concernant les erreurs de référencement les plus courantes

Le référencement est un élément essentiel du succès d’un site web. S’il est bien fait, il vous apportera une plus grande visibilité et davantage de visiteurs. S’il est mal fait, vous perdrez votre temps, vous resterez classés dans les abimes de Google et pour ainsi dire invisibles aux yeux d’une part importante de votre audience potentielle. Donc si votre site présente l’une des erreurs mentionnées ci-dessus (ou pire encore s’il en cumule plusieurs), il est grand temps de les corriger !

Si cette tache vous semble trop compliqué, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel du référencement. Il sera en mesure de vous proposer les prestations SEO en corrélation avec votre problématique.

A propos de KSEO

Spécialiste de l'optimisation web (SEO, UX, CRO...), KSEO vous accompagne pas à pas dans toutes vos démarches d'amélioration de votre site internet. Du simple audit technique à la définition d'une stratégie cohérente et pérenne, KSEO remet votre site web sur les bons rails. Au programme : une bonne dose de SEO (technique + on-page + off-page), une expérience utilisateur soignée sans oublier un contenu de qualité. Objectif : Gagner en visibilité et en efficacité pour provoquer une nette hausse de vos résultats issus du web !

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